L’AVENUE Master Imperial

Urbaine et raffinée, la nouvelle montre L’AVENUE de CENTURY est un hommage à la beauté des femmes qui enchantent les villes du monde.

Des Champs-Elysées à Paris jusqu’à l’avenue Madison de New-York, tous les regards se tournent vers elle. Elégante et de caractère, la nouvelle montre L’AVENUE et celles qui l’arborent au poignet recueillent tous les suffrages. Inscrite dans la collection MASTER IMPERIAL, dédiée aux garde-temps iconiques de CENTURY, L’AVENUE met à l’honneur la femme moderne.

Comment ne pas succomber à l’épure de sa nacre blanche ? La technique NACRILITH permet de l’enserrer entre deux pièces de saphir CENTURY, préservant ainsi la beauté de ce matériau aussi fascinant que fragile, auquel répond l’éclat des 133 diamants taille brillant. Un spectacle féérique, sublimé par les soixante facettes du saphir CENTURY, entièrement taillées et polies à la main, qui protègent et mettent en lumière le raffinement de la gravure ornant le cœur de la montre ainsi que la silhouette stylisée des aiguilles. Le cadran qu’elles parcourent évoque immédiatement la place de l’Etoile : parfaitement ronde, avec ses douze axes radiants et ses deux rues circulaires. Cette icône parisienne est devenue un symbole d’équilibre et de raffinement urbain.

Saphir CENTURY de 60 facettes taillées et polies à la main * Boîtier en or blanc 18 ct. * Cadran en nacre naturelle * Mouvement quartz (Ø 28 mm) * Serti de 133 diamants (1.171 ct.) * Bracelet alligator

Les attaches architecturées, pensées comme d’authentiques petits bijoux, rappellent la silhouette monumentale de l’Arc de Triomphe, au cœur de la place, dont l’arche s’ouvre généreusement sur les Champs-Elysées. Un lieu légendaire qui a donné son nom à la plus belle avenue du monde…

D’ores et déjà classique, L’AVENUE est disponible en deux modèles : en or gris parée d’un bracelet en alligator gris, et en or rouge et alligator crème. Deux styles pour différentes occasions : L’AVENUE est autant dédiée à l’esprit vif et entreprenant d’une femme d’affaires de la Cinquième Avenue qu’à celui, doux et rêveur, de la Parisienne invitée au Palais Garnier.